Souviens-toi du temps où tu marchais
sur les chemins de l’incertitude Allant toujours de l’avant, te méfiant des tourments tu apprenais la vie, en la prenant comme elle vint Vers toi – ces défauts, ces néants, ces coups de cafard -
Sans jamais te décevoir.
Souviens toi de ces heures passés auprès du téléphone
Et de ces déceptions qui dans ton cœur résonnent
Qu’auras-tu appris de ces heures monotones ?
« Poursuivre ce chemin qu’est celui de tout Homme »
Mais toujours en quête, tu cherches du piment à cette recette,
Celui qui la trouve aura aussi à en payer la dette
Et pourtant le message est clair : on apprend, on comprend et on ne se soucie guère du temps qui passe,
Jour après jour, tu réaliseras que l’harmonie parfaite
Est entre Toi et ton Soi _ alors soit toi-même et acceptes- toi !
Nul n’est parfait mais l’esprit guidera chacun de tes pas
Et solitude constante ne t’empêchera pas de savourer des Instants sacrés ou presque sur le chemin vers la raison.
sur les chemins de l’incertitude Allant toujours de l’avant, te méfiant des tourments tu apprenais la vie, en la prenant comme elle vint Vers toi – ces défauts, ces néants, ces coups de cafard -
Sans jamais te décevoir.
Souviens toi de ces heures passés auprès du téléphone
Et de ces déceptions qui dans ton cœur résonnent
Qu’auras-tu appris de ces heures monotones ?
« Poursuivre ce chemin qu’est celui de tout Homme »
Mais toujours en quête, tu cherches du piment à cette recette,
Celui qui la trouve aura aussi à en payer la dette
Et pourtant le message est clair : on apprend, on comprend et on ne se soucie guère du temps qui passe,
Jour après jour, tu réaliseras que l’harmonie parfaite
Est entre Toi et ton Soi _ alors soit toi-même et acceptes- toi !
Nul n’est parfait mais l’esprit guidera chacun de tes pas
Et solitude constante ne t’empêchera pas de savourer des Instants sacrés ou presque sur le chemin vers la raison.
28 Mars, 2000.
© 2000 Matt Oehler
No comments:
Post a Comment